Déplacement du bureau de vote N°2 Hôtel de Ville vers le Palais des Congrès
En raison des travaux actuellement en cours à la Villa Gazagne de l'Hôtel de Ville, le bureau de vote n°2 « Hôtel de Ville » sera exceptionnellement transféré au Palais des Congrès à l'occasion des élections européennes qui se dérouleront le 9 juin prochain.
En vous remerciant pour votre compréhension et restant à votre écoute,
La Ville de Lourdes
Publié le 04/06/2024
Les inscriptions aux transports scolaires débutent lundi 3 juin pour la rentrée scolaire 2024/2025
Les inscriptions pour les transports scolaires à Lourdes sont ouvertes jusqu'au 31 juillet.
Travaux de réparation de câble souterrain d'éclairage public, rue du Docteur Boissarie, du 3 au 5 juin 2024
En raison de travaux réalisés par une entreprise spécialisée, des perturbations de stationnement et de circulation sont à prévoir en face de l’immeuble sis n°4 rue du Docteur Boissarie :
STATIONNEMENT
Du lundi 3 au mercredi 5 juin 2024, le stationnement est interdit sur les places de stationnement en face de l'immeuble sis n°4 rue du Docteur Boissarie.
CIRCULATION
Du lundi 3 au mercredi 5 juin 2024, la chaussée est rétrécie au droit de l'immeuble sis n°4 rue du Docteur Boissarie.
En vous remerciant pour votre compréhension et restant à votre écoute,
Cérémonie commémorative de la journée nationale de la Résistance, lundi 27 mai 2024
La commémoration de la Journée nationale de la Résistance, s’est déroulée le lundi 27 mai à 10h00 au square du Général de Gaulle, avenue Foch.
Cette cérémonie a été présidée par M. le sous-préfet de l’arrondissement d’Argelès-Gazost, Fabien Tuleu, en présence de M. Thierry Lavit, maire de Lourdes, accompagné de M. Jean-Georges Crabarie, Conseiller Municipal chargé des Anciens Combattants, de M. Benoît Mournet, Député des Hautes-Pyrénées et de Mme Evelyne Laborde, représentant le Conseil Départemental. Cette commémoration a rassemblé autour du public, les élus du Conseil municipal, les Présidents et membres d’associations patriotiques, les Portes-drapeaux et des représentants des Forces de l’ordre : Gendarmerie, Police nationale, Police municipale.
Le 19 juillet 2013, l’Assemblée nationale a adopté, à l’unanimité, une proposition de loi émanant du Sénat instaurant le 27 mai comme Journée nationale de la Résistance. Cette journée a été choisie en référence à la première réunion du Conseil national de la Résistance (CNR) le 27 mai 1943. À cette occasion furent réunis, dans un même lieu, au cœur de Paris occupé, les représentants des principaux mouvements de résistance français ainsi que des principaux partis politiques et syndicats existant avant la guerre. Ensemble, ils ont œuvré à coordonner l’action de la Résistance et, dans la perspective de la libération du territoire national, à préparer la refondation de la République.
Le texte rédigé par M. Olivier de Clarens, Président du Comité Départemental de la Résistance a été lu par M. le maire, Thierry Lavit : “Cette année, nous célébrons les 80 ans de la libération de la France, un an avant la fin de la deuxième guerre mondiale. 80 ans peut se traduire en 2 générations, les témoins sont partis, les souvenirs se brouillent, l’histoire s’estompe! La lutte d’aujourd’hui se livre contre l’oubli dans les générations qui n’ont connu la guerre que par des oui-dires lointains mais aussi contre l’excès d’information qui occupe les media avec des documentaires trop enclins à jouer sur les émotions et mènent au risque de la banalisation de l’époque: la guerre réelle n’est pas une série télévisée. La Résistance, ce sont des individus, hommes et femmes, dont l’action isolée peut paraître dérisoire. Mais un individu peut sauver un autre individu, voire plusieurs. Ainsi, Maurice Trélut, maire de Tarbes accueillait à l’hôpital des juifs, faux malades et vrais soignants, la Ville de Lourdes a caché beaucoup de monde. Une famille locale peut sauver une famille de juifs.
En plus des réseaux structurés et compartimentés, comme Andalousie ou Buckmaster, dans la montagne, des passeurs individuels ont convoyé de simples fugitifs mais tous les évadés ne se sont pas faits connaître à la Mission Française de Madrid et ont gardé le secret de leur passage. De plus, certains ont guidé plusieurs fois des évadés, d’autres anonymes n’ont accompagné qu’une seule traversée. Les itinéraires praticables dans un milieu naturel difficile n’étaient pas infinis. Les Hautes Pyrénées portent bien leur nom, elles n’étaient franchissables que pendant la belle saison au contraire des autres départements situés aux extrémités de la chaîne. On peut quand même estimer le nombre total des évadés de France, sur toute la frontière à 22 685 personnes, mais aussi entre 7 000 et 10 000 échecs : remis aux allemands, arrêtés, internés, déportés, fusillés, morts en montagne. En plus des 342 passeurs déportés et des 660 internés.
Résister était aussi une aventure collective et complexe. Par exemple, le Corps Franc Pommiès, véritable armée clandestine, a évité la destruction de l’usine Hispano en la sabotant, ce qui a rendu inutile le bombardement prévu, qui, même effectué par des Anglais, aurait eu des conséquences terribles sur la Ville de Tarbes, qu’à l’époque on n’appelait pas dommages collatéraux. L’Occupation résultait d’une guerre et une guerre ne se mène pas seul. Les maquis composés pour l’essentiel de réfractaires au STO avaient du mal à assurer l’intendance, ils manquaient de nourriture, d’équipement, de logement, d’armes mais formaient quand même de futurs combattants.
Les réseaux constitués sont sortis de l’ombre dès que l’ordre a été donné en juin 1944 et ont mené des combats qui ont abouti à la libération du département. Les résistants haut-pyrénéens ont vaincu sans l’aide militaire directe des Alliés. Dans l’enthousiasme de ceux qui voulaient en découdre et la pagaille qui a fait croire à l’ennemi qu’ils étaient nombreux et bien armés, l'esbroufe a eu raison d’une armée encore puissante mais légèrement démoralisée, devenue nerveuse, qui était encore capable du pire comme les drames de Trébons, Pouzac et Bagnères l’ont montré.
Résister c’est se fédérer, s’unir contre l’occupant, agir contre la barbarie mais aussi incarner des valeurs qui 80 ans après sont toujours d’actualité dans le monde instable qui nous envahit de partout. Clairvoyance devant l’ennemi, la connaissance du passé nous rend plus forts pour affronter l’avenir.”
Cette lecture a été suivie par la diffusion du Chant des marais.
Puis, Fabien Tuleu a lu le message National de M. Sébastien Lecornu, ministre des Armées et de Mme Patricia Mirallès, secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants et à la Mémoire : “Il y a 81 ans, au numéro 48 de la rue du Four, la France, meurtrie et trahie, avait rendez-vous avec la République, qu’il lui tardait de retrouver. Il y a 81 ans, au numéro 48 de la rue du Four, la Résistance rassemblait le désordre de courage qui la constituait pour la transformer en une force ardente, résolue et inflexible. La force d’un refus, qu’avait déjà exprimé le général de Gaulle en 1940, et qui n’avait depuis cessé de croître.
La Résistance est née au cœur du plus atroce effondrement de notre histoire, à l’heure où les chaudes nuits d’été se font assassines ; à l’heure du vol feutré des parachutes alliés faisant pleuvoir armes ou combattants et dont la vue soulageait tout un maquis ; à l’heure des rafles dans les matins blêmes ; à l’heure des caves et des cellules, où résonnent les cris des innocents qu’on y torture. A l’heure des greniers que l’on ouvre, pour y cacher Juifs ou résistants. Comme il fallait croire en l’honneur, en la France et en ses alliés pour rejoindre l’armée des ombres ! Qu’y avait-il de commun entre toutes ces femmes et ces hommes ordinaires qui se sont grandis dans les évènements ? Ni classe sociale, ni religion, encore moins de parti politique. Mais l’espérance et l’amour de la République, qui gouvernaient ces vies clandestines. Chez ces soldats de nécessité, dans le sublime de leur lutte et le tragique de leur mort, notre pays a su trouver quelque chose en lui après la désolation.
Hommes et femmes, les résistants se sont engagés dans cette aventure hasardeuse sans calculs, sans garanties, et avec cette modestie qui les caractérisait. Ils étaient ces milliers qui, en arpentant des chemins différents, sillonnant nos régions et nos cantons, traçaient les traits de cette France qui relevait doucement la tête. La Résistance prît de nombreuses formes et de nombreux visages. Ce sont celles et ceux qui gagnèrent le maquis, car ils préféraient la rudesse honnête de la vie sauvage à la compromission honteuse dont ils étaient les témoins révoltés.
Ce sont celles et ceux qui firent sauter des ponts pour retarder une division allemande, ou pour faire dérailler une livraison d’armes. Ce sont ces imprimeries clandestines qui n’étaient pas enchainées et tenaient un discours de vérité, annonçant ainsi le retour d’une presse libre, composante essentielle à une démocratie pérenne. Ce sont ces étrangers, combattants comme Missak Manouchian et son groupe, que la Nation reconnaissante a fait entrer au Panthéon, ou protecteurs comme Sabine Zlatin, l’infirmière juive d’origine polonaise, la Dame d’Izieu bouleversée par la rafle des enfants qu’elle cachait. Ces étrangers, Français par le choix et le sang versé, qui n’ont pas trahi. Ce sont celles et ceux qui partirent pour l’Angleterre, l’Algérie ou le Maroc pour rejoindre les Forces Françaises Libres et préparer le retour au pays natal, dont ils avaient l’exil en horreur. Ce sont toutes celles et ceux qui, capturés chez eux ou au maquis, dans les matins trompeurs ou les nuits douloureuses, ont crié « vive la France », comme Marc Bloch avant de tomber, ou bien, comme Jean Moulin, qui se sont élevés dans le silence gardé. Enfin, ce sont les femmes et les hommes qui, il y a 80 ans, dans le secret des plans et la hâte du lendemain, ont préparé les Débarquements. Sans leurs actions décisives, s’ils n’avaient pu informer comme ils l’ont fait, si les routes n’avaient pas été coupées, les ponts effondrés et les convois attaqués, les Débarquements n’auraient sans doute pas eu le même succès, et les pertes auraient été plus importantes. Chez eux, la lucidité n’avait pas conduit au découragement. Ils étaient les meilleurs fils et filles du vieux pays écroulé et, comme le disait l’un d’entre eux, poète de Provence aux mains rocailleuses et à l’esprit si grand, « les degrés solitaires d’une gloire collective ». La Résistance aux insomnies nécessaires, la Résistance aux martyrs innombrables n’était pas seulement le mouvement d’hommes et de femmes qui avaient dit non. Elle était aussi celui de bâtisseurs qui avaient en partage l’unité des buts et des sentiments. Comme le disait Pierre Brossolette, « les morts de la Résistance ne nous demandent pas de les plaindre, mais de les continuer. Ils n’attendent pas de nous un regret, mais un serment ; pas un sanglot, mais un élan ». Cet élan, c’est celui de la Libération et de ce qui lui succèdera, car c’est aussi cela, la Résistance : une refondation radicale. Refondation sociale, avec déjà l’idée de la sécurité sociale, du droit au travail, du besoin d’une élite non de naissance mais de mérite. A jamais, la flamme de la Résistance éclairera la République et le chemin de toutes celles et ceux qui la partagent.
Vive la République !
Vive la France ! “
S’en sont suivis cinq dépôts de gerbes par :
M. Fabien Tuleu, Sous-Préfet de l’arrondissement d’Argelès- Gazost.
M. Benoît Mournet, Député des Hautes-pyrénées, a déposé une gerbe au nom des parlementaires des Hautes-Pyrénées.
Mme Évelyne Laborde, Conseiller départemental, a déposé une gerbe pour le Conseil Départemental.
M. Thierry Lavit, maire de Lourdes et M. Jean-Georges Crabarie, délégué aux Anciens Combattant.
M. Marcel Saparra a déposé une gerbe au nom de l’Association Nationale des Anciens Combattants et Ami(e)s de la Résistance.
La commémoration s’est clôturée par une minute de silence et la diffusion de La Marseillaise.
Publié le 29/05/2024
La balade des gens heureux, samedi 1er juin 2024
La manifestation intitulée « La balade des gens heureux » qui se déroule à Lourdes le 1ᵉʳ juin 2024, organisée par l’ADAPEI des Hautes-Pyrénées, nécessite d’aménager les conditions de stationnement.
STATIONNEMENT INTERDIT
Le samedi 1ᵉʳ juin 2024 à compter de 06 h et jusqu'à 19 h, la totalité des emplacements de stationnement situés sur le parking de l'Hôtel de Ville est interdite au stationnement des véhicules autres que ceux liés à la manifestation organisée par l'ADAPEI Hautes-Pyrénées et intitulée « La balade des gens heureux ».
Dans les mêmes conditions, les jardins de l'Hôtel de Ville sont réservés à l'organisation de cette manifestation.
En vous remerciant pour votre compréhension et restant à votre écoute,
Le Château fort - Musée pyrénéen célèbre le Printemps des cimetières
Pour la première fois, le Château fort - Musée pyrénéen de Lourdes s'est associé au Printemps des cimetières en proposant une visite du cimetière de l’Égalité. Cet événement a offert une occasion unique de découvrir un lieu emblématique de la ville samedi 25 et dimanche 26 mai.
Le cimetière de l’Égalité, connu pour ses nombreuses représentations féminines, est un site historique de Lourdes. Parmi ses monuments notables figure le Monument aux Morts, une œuvre civile remarquable par son volume imposant et son intégration dans la culture locale.
L’histoire des Apparitions mariales trouve également un écho particulier dans ce cimetière, marqué par la présence omniprésente des femmes. On y trouve notamment les tombes des sœurs de Nevers, le tombeau familial de la famille Soubirous, ainsi que de nombreuses statues de la Vierge Marie.
Les visiteurs ont été invités à explorer ces symboles et à mieux comprendre l'importance de ces figures féminines dans l'histoire et la culture de la ville. Cette initiative vise à sensibiliser le public à la richesse patrimoniale du cimetière et à promouvoir un dialogue autour de la mémoire collective.
Publié le 28/05/2024
Éclat printanier au Jardin des Tilleuls : le concert de l'Alliance Musicale de Lourdes
Samedi 25 mai, l’Alliance Musicale de Lourdes a ravi le public avec son Concert de Printemps annuel, qui s'est tenu au kiosque du Jardin des Tilleuls.
Dirigée par les chefs Rodolphe Boulent, Rolland Duffau et Pascal Piette, l’Alliance Musicale de Lourdes a offert une performance éclatante sous un soleil radieux. Le répertoire varié a enchanté les spectateurs, passant de Queen et Deep Purple à Serge Gainsbourg et West Side Story, sans oublier le vibrant paso doble “El gato Montés” de Manuel Penella.
Le moment le plus émouvant du concert a été l'interprétation de “Vivre”, une composition de Pascal Piette en hommage à Alexis Béranger, ancien président de l’Alliance Musicale de Lourdes, décédé il y a dix ans. Cette pièce a touché le public en plein cœur, rappelant le dévouement et la passion d'Alexis Béranger pour la musique.
Publié le 28/05/2024
La Ville de Lourdes promeut les mobilités douces avec l'opération "Mai à vélo"
Dans le cadre de son projet de transition écologique, la Ville de Lourdes s'engage à promouvoir les mobilités douces en participant à l'opération nationale "Mai à vélo". Le samedi 25 mai, des animations gratuites ont été organisées pour encourager les citoyens à adopter des modes de déplacement respectueux de l'environnement. La Ville finalise actuellement son schéma directeur des mobilités actives, centré sur l'usage du vélo, tant pour les déplacements quotidiens que sportifs. Ce plan prévoit divers axes d'action : aménagements et investissements, services, communication et gouvernance. Parmi les initiatives, un atelier de réparation de vélos est en cours de développement.
Inauguration de l'Atelier de Dépannage Vélo
En présence de Cécile Prevost, maire-adjointe à la Transition écologique, et Mohamed Dilmi, maire-adjoint à la Jeunesse et aux Sports, les Cyclo-randonneurs Lourdais, en partenariat avec la Ville, ont inauguré un atelier de dépannage vélo. Les participants ont pu bénéficier des conseils d'experts pour l’entretien de leurs vélos. Cet atelier sera ouvert chaque premier mercredi du mois de 9 h à 12 h, permettant aux cyclistes de faire effectuer des réglages et l'entretien de leurs vélos par des bénévoles ou de le faire eux-mêmes grâce aux outils fournis par la Ville.
Parallèlement, l'association Wimoov a proposé des tests de vélos et trottinettes électriques. Cécile Prevost a souligné : "Mai à vélo est une fête nationale, et c’est la première fois qu’elle se déroule à Lourdes. Cette journée incite les gens à reprendre le vélo. Giovanna, par exemple, a pu apprendre à réparer et remonter son vélo resté inutilisé dans sa cave. Grâce à cet atelier, elle roule désormais en sécurité. La Ville a investi dans du matériel confié aux Cyclo-randonneurs Lourdais, permettant la mise en place de cet atelier mensuel. Merci à eux. 'Vélo' en verlan, c’est 'love' : Mai en vélo, Mai in love à Lourdes !"
Mohamed Dilmi a ajouté : "L'inauguration de cet atelier montre notre engagement pour une politique axée sur le bien-être, l'écologie, et l'éducation, afin que nos enfants puissent faire du vélo en toute sécurité. Merci à tous !" Enfin, Alain Papa, président des Cyclo-randonneurs Lourdais, a exprimé sa satisfaction de participer à cette initiative, encouragée par la Fédération Française de Cyclisme.
Prochain rendez-vous : la Fresque de la mobilité
Le mercredi 29 mai, de 18 h à 20 h, le Tiers-lieu Amassa accueillera la Fresque de la mobilité, un atelier ludique et collaboratif de sensibilisation aux enjeux carbone de la mobilité. À travers un jeu de cartes, les participants pourront réfléchir à leur impact environnemental et trouver des solutions pour réduire leur empreinte carbone liée à leurs déplacements. L'inscription est obligatoire et peut se faire en appelant le 05 62 42 54 06 ou en envoyant un email à transitionecologique@ville-lourdes.fr .
Publié le 28/05/2024
Programme cinéma du 5 au 26 juin au Cinéma Le Palais
Du 5 au 26 juin au Cinéma Le Palais de Lourdes - 4, av. du Maréchal Foch.